Retour sur Klout et ses incohérences liées à la e-réputation

Depuis quelques mois, il y a un outil qui fait beaucoup parler de lui dans l'univers du social media. Cet outil, il vous permet de calculer votre degré d'unfluence sur les réseaux sociaux en se basant sur des paramètres tels que le nombre d'abonnés à votre compte Twitter ou encore grâce au total de vos amis sur Facebook. Et oui, je veux bien évidemment parler de Klout.

Mais pour l'avoir testé personnellement, je trouve que plusieurs éléments lui font défaut, notamment au niveau de l'algorithme qui permet de réaliser le calcul. Pourquoi ? Parce que cet algorithme donne plus de poids à certains facteurs alors qu'ils ne sont pas forcément les plus pertinents. C'est notamment ce que j'explique dans mon article intitulé "Klout, entre influence et e-réputation, ce que l'indice ne vous dit pas". Alors oui, l'initiative est belle et il faut la saluer. Klout est arrivé à temps dans une bulle qui est véritablement en train d'exploser et qui nous pousse à prêter de plus en plus d'attention à l'évolution de notre réputation en ligne. Entre Twitter qui compte de plus en plus d'utilisateurs réguliers et Facebook qui franchi chaque mois de nouveaux caps symboliques, celle-ci est plus que jamais un phénomène d'actualité qui n'est pas prêt de s'estomper.

Toutefois, attention à ne pas faire de Klout un outil indispensable pour mesurer son influence et sa e-réputation sur les réseaux sociaux. Cela n'engage que moi mais je doute fortement que tous les comptes Twitter soient par nature plus intéressants que d'autres qui ne pourraient en compter que 50 ou 100. C'est d'ailleurs ce qui fait notamment la force de Twitter. Pourtant, Klout semble vouloir nous faire croire l'inverse. Alors si vous souhaitez en savoir plus sur Klout, je vous invite à vous rendre sur le blog web marketing de Polynet pour y lire mon article sur le sujet.